Mikhail Gorbatchev, un bilan entièrement négatif

International • Comme de son vivant, l’Occident chante des hymnes de louanges au dernier secrétaire général du PC d’Union soviétique (PCUS). Mais une autre façon de regarder l’homme qui a ouvert les vannes du capitalisme en Europe de l’Est s’impose.

Le secrétaire du Parti communiste Mikhaïl Gorbatchev (à gauche) et le président américain Ronald Reagan (à droite) signent le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire le 8 décembre 1987 à la Maison-Blanche.(Crédit : Universal History Archive/UIG via Getty Images)
S’il est adulé dans le mainstream libéral, et quasi universellement méprisé dans son propre pays, parmi les communistes les réactions furent contrastées, allant des condamnations fermes d’un liquidateur du socialisme à des propos élogieux. Le fait est qu’une légende tenace demeure vivante dans une partie du mouvement communiste, exprimée de la façon suivante parmi l’un...
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