Un livre de Jean-Marie Meilland invite la gauche à la réflexion
Il est rare de nos jours qu’un essai politique ait une telle profondeur. Philosophe de formation, le collaborateur de la VP ne se situe pas dans les cimes éthérées, il analyse des problèmes concrets de la société.

Les thèses qu’il défend sont certes parfois hétérodoxes. Meilland estime que le discours des politiciens manque d’affectivité et d’empathie envers « le peuple ». Il prône la naissance d’un nouveau populisme de gauche, même si ce terme suscite la méfiance et peut être dévoyé, ce que montre l’auteur dans une première partie historique. Il parle de quelques...