Le parascolaire est un service essentiel, mais sous-valorisé

Portrait • Trois quarts des enfants de 4 à 12 ans scolarisés à Genève bénéficient des services du parascolaire. Deux animatrices du Groupement intercommunal pour l’animation parascolaire (GIAP) nous racontent leur parcours, l’amour qu’elles portent à leur métier, mais aussi les difficultés rencontrées sur le terrain.

Les deux femmes travaillent au parascolaire depuis plus de 10 ans. (BBL)
« Quand mes enfants sortent du parascolaire, ils sont heureux, et moi aussi ! Nous vous admirons beaucoup », s’exclamait un père membre de l’association des parents d’élèves de la Jonction, à Genève, s’adressant au personnel du GIAP en train de manifester en face des locaux de sa direction, le 9 mai dernier. Le papa ne croit pas...
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