La cendre et le silence

SPECTACLE • Comment Ludovic Chazaud ranime avec distance «Le Vieil Incendie» d’Elisa Shua Dusapin, entre théâtre, lecture et récit choral, pour un face-à-face sororal d’une fragile étrangeté.

"Le Vieil Incendie" d'Elisa Shua Dusapin dans une adaptation théâtrale à plusieurs voix. Photo Dorothée Thébert

Dans la pénombre de la salle, une maison va être démolie. Ses pierres serviront à reconstruire un pigeonnier, consumé il y a un siècle. C’est sur ces cendres anciennes que Ludovic Chazaud bâtit son spectacle, adaptation mêlant texte projeté sur panneau mobiles et récit passé à plusieurs voix du roman d’Elisa Shua Dusapin, Le Viel…

Pour accéder à ce contenu, vous pouvez vous abonner !
Abonnement dès 3 francs pour 1 jour ou 20 francs pour 3 mois.
Si vous avez déjà un abonnement qui inclut l'accès en ligne, merci de vous connecter !