Un Shakespeare pop et «féministe»

THEATRE • Une comédie farcesque du grand Will étincelle de ses jeux de langages et situations vaudevillesques. Jusqu’au burlesque parfois désenchanté.

Falstaff (François Nadin) confondu par les épouses (Rachel Gordy et Léonie Keller). Photo Magali Dougados
L’Angleterre des années 70 au moment des luttes féministes historiques sert de toile de fond à la mise en scène survoltée, physique et cartoon manga marquée par la déformation de corps ductiles d’Eric Devanthéry. Pour sortir des sentiers souvent battus et rebattus des transpositions scéniques de l’auteur élisabéthain, le Genevois a décidé de nous replonger...
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