Cette année encore, le salaire annuel de 15 millions de francs du PDG d’UBS, Sergio Ermotti, a suscité l’indignation, faisant même secouer la tête le président du PLR, Thierry Burkart: une telle rémunération était «bien trop élevée du point de vue du public». La modération salariale devient tendance. Le Conseil des Etats est du même…
UBS ne se bat pas contre les risques, mais contre les règles
Suisse • Les autorités fiscales suisses veulent réguler plus strictement la nouvelle mégabanque UBS. Mais celle-ci réagit avec un lobbyisme offensif sans précédent. (Par Dominic Iten, paru dans Vorwaerts, adapté par la rédaction)
