Les budgets, déjà faramineux et en augmentation de l’armée, prévue par le Conseil fédéral pour ces cinq prochaines années, sont indécents pour au moins deux raisons. D’abord parce qu’ils s’accompagnent, pour les financer et au nom du frein à l’endettement, de restrictions sur l’aide internationale, sur l’aide à l’accueil de jour des enfants, du désengagement…