Un, deux voire trois jours de travail gratuit, donc, qui iraient à l’encontre des règles du droit du travail en vigueur. En effet, «le paiement du salaire dès le premier jour est un droit et le salaire minimum cantonal n’est pas respecté», s’insurge Camila Aros, secrétaire syndicale à Unia, lors d’une conférence de presse portant…