Du personnel hôtelier auquel on ne paie pas les premiers jours de travail

Travail • Une partie de l’hôtellerie genevoise et ses agences de placement auraient la préoccupante habitude de ne pas payer des «journées d’essai» de son personnel de chambre et de ménage dénonce le syndicat UNIA.

Un, deux voire trois jours de travail gratuit, donc, qui iraient à l’encontre des règles du droit du travail en vigueur. En effet, «le paiement du salaire dès le premier jour est un droit et le salaire minimum cantonal n’est pas respecté», s’insurge Camila Aros, secrétaire syndicale à Unia, lors d’une conférence de presse portant...
Pour accéder à ce contenu, vous pouvez vous abonner !
Si vous avez déjà un abonnement qui inclut l'accès en ligne, merci de vous connecter !