La culture populaire n’est pas un outil de domination

La chronique de Jean-Marie Meilland • Il semble pourtant que la culture populaire vaut mieux que d’être un pis-aller pour ceux qui sont exclus des privilèges réservés aux castes supérieures.

Dans Retour à Reims (1), Didier Eribon se penche sur sa jeunesse dans une famille ouvrière communiste du Nord de la France. Ce qui ressort de son récit, c’est la souffrance née de la pauvreté et de l’épuisement au travail dans le contexte capitaliste. Son parcours d’intellectuel et d’écrivain apparaît alors comme une libération du...
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