La viande de synthèse, la bonne chère du capital

Société • Des capitaux massifs levés dans le monde entier pour financer la production animale en labo mettront peut-être fin à 10’000 ans d’histoire entre êtres humains et animaux d’élevage. Jocelyne Porcher (1), sociologue à l’INRAE, contre la production industrielle et la production in vitro, prône l’élevage paysan.

(Flickr, Ivan Radic)
Tandis que dans certains pays la viande in vitro existe déjà, Migros, le plus grand groupe suisse dans la grande distribution et principal employeur privé du pays, a investi dans deux start-ups israéliennes qui travaillent à développer de la viande à partir d’une seule cellule. L’une de ces entreprises, Aleph Farms, a déposé une demande...
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