Vers la fin du «mouvementisme» de gauche?

International • Le 21 mai, c’est le choc pour l’électorat grec de gauche. Pourtant donnée au coude à coude avec la droite dans les derniers sondages, la coalition de gauche Syriza s’effondre, perdant près de la moitié de son électorat. Le déclin se confirmera un mois plus tard, et poussera Alexis Tsipras à la démission.

Le 21 mai, c’est le choc pour l’électorat grec de gauche. Pourtant donnée au coude à coude avec la droite dans les derniers sondages, la coalition de gauche Syriza s’effondre, perdant près de la moitié de son électorat. Le déclin se confirmera un mois plus tard, et poussera Alexis Tsipras à la démission. (DR)
Dès 2012, la coalition de gauche radicale Syriza avait ouvert le cycle des succès électoraux des «populismes de gauche» en Europe. A sa suite, Podemos en Espagne et La France Insoumise ont remis au goût du jour des thèmes de gauche dite «radicale», inspirés des mouvements altermondialistes des années 2000. Abandonnant la forme «parti», vue...
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