Sous l’ombre des cartels

CINÉMA • Dans "Hijo de Sicario", les cinéastes mexicaines Astrid Rondero et Fernanda Valadez posent des personnages féminins comme forces pour s’émanciper de la violence des cartels. Astrid Rondero témoigne de ce film humaniste, crépusculaire et lumineux.

"Hijo de Sicario". S'émanciper de la violence et la subir. Damned Films
Primé au Festival Sundance (États-Unis) et dévoilé en première suisse au Festival Filmar en America latina (Genève), « Hijo de Sicario » (« Fils de tueur à gages ») suit le parcours initiatique de Sujo, un enfant puis adolescent orphelin de père et pris dans les griffes d’un héritage toxique. Le film parvient à transcender la simple chronique sociale...
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