Ombres dansantes

SPECTACLE • Imaginé par Cindy Van Acker, "Quiet Light" s’inscrit dans une interrogation de l’éphémère, du sensible et de l’inachevé. La pièce dansée s’inspire de l’univers mélancolique et solitaire du peintre belge autodidacte Léon Spilliaert.

"Quiet Light". Atmosphère picturale, nébuleuse et indécise, inspirée du peintre Léon Spilliaert. Photo: Mathilda Olmi
Interprété par Stéphanie Bayle et Daniela Zaghini, ce duo dansé – ou quatuor, si l’on compote les ombres projetées des danseuses – explore un espace où les corps et les ombres s’entrelacent dans une dramaturgie lumineuse et sonore lancinante. Inspirée par les peintures de Léon Spilliaert aux horizons infinis et perspectives immersives, l’œuvre se déploie...
Pour accéder à ce contenu, vous pouvez vous abonner !
Si vous avez déjà un abonnement qui inclut l'accès en ligne, merci de vous connecter !