«Partout, on ampute / et je ne sais pourquoi les fleurs continuent à pousser / dans les jardins », écrit Nour Baaloucha, l’une des poétesses gazaouies publiées dans l’anthologie qui est paru chez Points, intitulée Gaza, y a-t-il une vie avant la mort ? On ne sait pas pourquoi les fleurs continuent de pousser, ni les femmes…
Gaza – Ecrire là où l’on assassine
La chronique de Quentin Mouron • Pour découvrir l’anthologie qui est paru chez Points, intitulée "Gaza, y a-t-il une vie avant la mort ?"