Pas d’exercice de la citoyenneté sans langue commune
La chronique de Quentin Mouron • Je ne savais pas bien où je mettais les pieds quand, en septembre dernier, je signais une pétition demandant que, pour les employés de commerce, le français redevienne une branche enseignée à part entière.

Je ne savais pas bien où je mettais les pieds quand, en septembre dernier, je signais une pétition demandant que, pour les employés de commerce comme pour les vendeurs, le français redevienne une branche enseignée à part entière, et non qu’elle soit versée dans la nébuleuse pédagogique des «domaines de compétences». Cela me semblait relever...