Dostoïevski, l’amour à profondeur d’homme

La chronique de Quentin Mouron • Lire "Les Démons" ou "Les Frères Karamazov", c’est descendre au cœur des femmes et des hommes, non pour s’y engloutir, mais pour y puiser la force de les aimer

Quentin Mouron (DR)
En 1958, l’URSS célébrait le 75e anniversaire de la mort de Dostoïevski. Une commémoration qui n’avait rien d’évident, tant l’écrivain avait été décrié par les révolutionnaires de 1917 et, surtout, par les autorités soviétiques. S’il n’était pas interdit, ni censuré, on lui préférait largement Pouchkine ou Tolstoï dans le rôle de père de la littérature...
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